EN PLEINE HAUTE VOLÉE : ELKE KÜSELUND ET LE MONITEUR DE PLONGÉE PHILIP

Buss le pensaient aussi . Ils ont réservé leur propre expérience à sensations fortes : un saut en parachute.

L'aventure collective a débuté à l'aérodrome de Hartenholm, situé à une quarantaine de kilomètres de Hambourg. « Plus nous approchions de notre destination, plus notre excitation grandissait. Nous étions terriblement nerveux à l'idée de sauter », se souvient Elke Küsel, l'une des participantes. Une fois sur place, ils ont d'abord assisté à un briefing de vingt minutes au sol. Puis, il était temps d'embarquer ! Sous un ciel radieux, le petit avion a atteint une altitude de 4 000 mètres.

Puis le moment tant attendu arriva : accompagnés du moniteur de saut, ils se lancèrent. « On n’a pas le temps d’avoir peur », explique Elke Küsel. « Tout se passe en quelques secondes. »

Elle s'enthousiasme pour la suite : la chute libre, le vent sur le visage, le trac et une immense sensation de liberté. Au bout d'une minute, le parachute s'ouvre. On flotte, on tournoie, et on peut même se diriger un instant.

Après environ quatre minutes de vol, l'instructeur donne le signal. Il est temps de se préparer à l'atterrissage. Celui-ci se fait un peu brutalement, sur le dos. Bien que peu élégante, cette méthode est la plus sûre pour les débutants. Les courageux participants ont ensuite reçu un certificat. Ce fut une expérience inoubliable pour les quatre collègues, qui a tissé des liens très forts entre eux. Il leur reste un sentiment de courage et d'euphorie. Elke Küsel est catégorique : « J'adorerais recommencer. »

ÇA VA COMMENCER. DE GAUCHE À DROITE : ELKE SCHUSTER, ELKE KÜSEL, HENRIKE DUNKER, JENNIFER FIEDLER